Sur la Route de Memphis juillet 2010
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Dijon Beaune Magazine mai 2010
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Abus Dangereux #110 - juin 2009 (album "666 Feet Under" - The Mystic Ryders From Spectral South)
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Le Cri du Coyotte - juin 2009 ...
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Crossroads #30 (album The Bucks Are Loose)
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« A chaque album, c’est la même claque ! Difficile de croire que ces Buckaroos sont bel et bien nés (et qu’ils vivent) à Camembert Land, tant leur folk-rock mélodique autant qu’électrique, mérite sa place auprès des grands noms de la scène US, quelque part entre les Rave-Ups, Drivin’ & Cryin’ et tous les autres maîtres en la matière. Du bien bel ouvrage !… 4 étoiles » Compact #15 (septembre 2001)
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« L’ALBUM DU MOIS. Ca faisait longtemps qu’on avait pas retrouvé un groupe français à cette place dans cette sélection mensuelle. Il leur aura fallu une dizaine d’années pour atteindre le firmament avec ce quatrième album quasiment parfait et qui fleure bon les grands espaces américains et la musique country, mais aussi le rock US à la Neil Young et la Pop-Folk d’un Dylan. Cette position largement méritée salue les gros efforts réalisés, tant au niveau de la qualité des treize compositions et de la justesse de leur production que de la cohésion de ces quatre musiciens qui peuvent être fiers de leur travail. » Freeway Magazine #117 (septembre 2001)
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« Nous avons déjà eu l’occasion de dire combien nous apprécions les BUCKAROOS. Et ce n’est pas leur dernier album, « MASTERS WERE DEVILS », qui va - et au contraire ! – nous faire changer d’avis. Si l’on est réservé quant à « Anything Could Happen » (trop pop à notre goût) et « The Cowgay’s Lament » (trop gay à notre goût), on se régalera de « Loise,Roy and Elvis » (intelligent mélange de beat californien et de tex-mex), de « Wrong Place,Right Time » (le fiddle est au rendez-vous) et de « At A Father’s Bedside » (avec son banjo d’enfer). » Country Music Attitude #39 (aout 2001)
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« On pourrait glosser sur les étiquettes et la forme pour titiller les amateurs d’Americana renouvelée : Countryrock Attitude ? Insurgent Folk Rock ? Guitars with Bolo Tie ? Mais on risquerait d’oublier l’essentiel : La musique des Buckaroos est un engagement esthétique, intellectuel et sensible. Le mieux est donc d’écouter « Masters Were Devils », tout aussi exigeant sur les thèmes, les arrangements et l’ouverture des sons… » Jacques Brémond - Le Cri du Coyotte #65 (aout 2001)
Interview Cri
du Coyotte 1ère partie
Interview Cri
du Coyotte 2ème partie
Interview Cri
du Coyotte 3ème partie
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« Su Nuevo album se titular “Masters Were Devils” y presentan un sonido mas pulido y professional que en sus dos anteriores trabajos. Su propuesta parte del rock y se acera al country en temas como « Wrong Place, Right Time » ( el major del album) 0 « The Cowgay’s Lament ». En “All Is Said And Done” la voz de su lider Thierry Magnière suena como la de Bob Dylan, mientras que « Louise,Roy And Elvis » tiene un aire a lo Buddy Holly. En resumen, un buen album en el que The BUCKAROOS muestran sin ningun tapujo sus influencias americanas y les rinden homenaje. » Lluis Sala - Jambalaya Magazine, Espagne (aout 2001)
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« …Tous les ingrédients du genre sont là : des mélodies noires, des paroles très réalistes, des guitares électriques au son très clair. Parmi les musiciens qui viennent leur donner un coup de main on remarquera la présence de notre spécialiste français zydéco et cajun, j’ai nommé l’ami Didier Lonjard. Pour tous ceux qui aiment Bob Dylan ce disque devrait figurer en bonne place dans leur discothèque. » Claude Vue - Trad Magazine #79 (septembre 2001)
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« …Des amis leur prêtent main-forte : Michel Xénard des HOT PAMPERS (violon sur « Wrong Place,Right Time »), Jacques Spiry des WISE GUYS (chant en duo sur « To Sing Aloud About You », Gibus Caligula ex-SILLY THINGS et MEDIUM (duo sur « The Cowgay’s Lament”, coup de Stetson à la communauté gay), Sébastien Vaivrand (orgue et piano), Didier Lonjard de BLUE BAYOU (accordéon cajun sur « Louise,Roy And Elvis »).
T.B Noze écrit la plupart du répertoire, ce qui n’empêche pas les « BUCKS » de reprendre « Anything Could Happen » des JOHNNYS, groupe australien, et « Battleship Chains » des GEORGIA SATELITES. » Jukebox Magazine #169 (septembre 2001)
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« …Au fil des ans, les Buckaroos ont fignolé leur style « Country/Rock/Acoustique » pour en faire un instrument aux finitions millimétrées et au tranchant redoutable. Eux qui, déjà peuvent se permettre de ne pas dépareiller sur n’importe quelle scène US, sont en train de rejoindre le groupe de tête d’allumés de l’école d’Austin (Texas) et du courant « Alternatif » de la country à tendance Folk/Rock… » Chris Bertelle - Country News #79 (avril 2001)
Interview
Country News #79 1ère partie
Interview
Country News #79 2ème partie
A propos de ... We Shall No Reprieve
Best mai - 1999 ...
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« Même chose que le groupe du dessus, mais version country, cette fois. Un moment agréable pour qui aime traverser le désert en Cadillac (Highway 61). » Guitares & Claviers (décembre 1998)
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« Pas la moindre obsession de modernité
à rechercher non plus chez les Buckaroos. Depuis dix ans, ces quatre
musiciens émérites s'adonnent aux joies acoustiques du country
rock. Ce troisième album autoproduit démontre qu'ils maîtrisent
parfaitement le genre : voix, guitares et cohésion de l'ensemble
sont au dessus de tout soupçon.
De plus ces cow-boys bourguignons fleurent bon l'authenticité, n'hésitant
pas à reprendre sans complexe un morceau de Bruce Springsteen ("Atlantic
City") : leur folk tonique ("Only Holy Lovely One") et rafraîchissant
("Fault To Expiate") a vraiment de quoi surprendre.
("We Shall Get No Reprieve", distributions MSI) »
Rock & Folk (septembre 1998)
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